Ami scootériste, Ami pacifique,Après des efforts soutenus, la communauté scootériste avait conclu de nombreux accords visant à réduire les arsenaux de scooters « trop classes », à interdire le déploiement de ceux ci dans certaines régions et certains milieux (Gônerie et Bachi-bouzoukie, par exemple), à limiter la prolifération et surtout la divagation des scooters « trop classes ».
Malgré ces avancées, les scooters « trop classes » et leur prolifération demeurent un danger majeur pour la paix et restent au premier plan des préoccupations de la communauté scootériste.
Comment accepter de rouler sur un scooter PX à coté d'un Vespa GS ou d'un Lambretta DL, sans réagir, sans la totale remise en cause du système, et ressentir la fin d'une période de stabilité?
En 2004, la Cour internationale de Justice Scootériste Gonienne, (présidée par le Steeve McQueen du droit : Julien69) a examiné les aspects juridiques de la menace ou de l’utilisation des scooters « trop classes » et, dans un avis a affirmé l’obligation universelle de rouler avec des scooters acceptables, et soignés, qui n'attirent pas la convoitise de tous.
Le Traité de janvier 2008 sur la non-prolifération des scooters « trop classes », qui a été prorogé pour une durée indéfinie, est considéré comme la pierre angulaire du régime de non-prolifération des des scooters « trop classes » dans la Gônerie élargie. La SSE10 (Société Secrète Escouade 10) joue un rôle de premier plan dans la surveillance des micro-états, pour éviter la prolifération des scooters « trop classes ».
La SSE10 sert de corps d'inspection gônien en ce qui concerne l'application des garanties scootéristes et les mesures de vérification applicables aux programmes de développement du parc scooters (nommés également skeuterss).
Aux termes d'accords conclus et protocoles additionnels aux accords de garanties en vigueur (Protocole du Béranger, Protocole de l'Osteria Valenti, Protocole du Voxx, Protocole de Fabio), les Etats (libres ou non) non dotés de scooters « trop classes » sont tenus de soumettre à la SSE10, tous leurs projets et activités visant à acquérir ou développer une flotte de deux roues concernés à ces accords.
Aujourd'hui, contrairement à l'ensemble de ces accords, les bachi-bouzouks ont transgressé les engagements pourtant formalisés. Sur le territoire « gônerie » élargie, 3 scooters 160 GS, et de multiples Lambrettas (aujourd'hui non recensés, car souvent en panne ou démontés ; et non visibles de nos observateurs) sont présents et constituent une menace importante sur l'équilibre géo-politique-scootériste gonien.
Pour relancer le processus de paix et offrir à la population une sécurité minimale, deux pistes majeures s’avèrent incontournables :
D’une part, il faut exercer une réelle pression diplomatique, politique, mais aussi militaire auprès des bachi-bouzouks impliqués, notamment grâce à l’envoi de la SSE10, (la SSE10 bien aimée).
D’autre part et parallèlement, il est primordial de saisir et confisquer ces scooters « trop classes », qui nous brûlent les yeux.
Manifestation ce soir (12/3/2009) place Bellecour 18.30h.
On compte sur toi.