DdG

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Son PX en panne, Hulk hurle, je sais ce qu'il ressent.

Mon travail de témoin et de journaliste en Gônerie :

Mon activité est avant tout un journalisme d'enquête, un journalisme d'investigation, un travail sur des recherches approfondies (us et coutumes gôniens).

En consultant différentes sources et en interrogeant plusieurs spécialistes d'un sujet ou témoins d'un événement, je compacte et trie plus efficacement les informations et découvre des faits inédits. Ma connaissance des faits tiendra donc mieux compte de la réalité et son analyse sera ainsi de meilleure qualité.

La définition du journalisme d'investigation, selon la déontologie du journalisme, implique également une indépendance vis-à-vis des pouvoirs politiques ou économiques (infiltration du V.C.L. et pilotage en sous marin), et une profondeur d'analyse qui résiste à la tentation de la démagogie ou à la course à l'exclusivité.

Mes règles dans ce blog sont les suivantes :
- devoir d'informer,
- respect du lecteur,
- intérêt public,
- droit de savoir
- indépendance à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, des puissants en général,
- respect de la vie privée (celle des autres parfois, la mienne toujours),
- protection des sources,
- droit, conscience et morale.

Ces règles de conduite définissent ma légitimité et ma crédibilité.

Cet ensemble est basé sur deux principes basiques : la responsabilité et la véracité informative.

Par l'application de cet ensemble normatif, formant la déontologie ou l'éthique journaliste, je suis protégé des manœuvres de propagande, de promotion et de désinformation.

"C'est ça qu'jdis."


jeudi 12 mars 2009

Halte à la prolifération


Ami scootériste,
Ami pacifique,

Après des efforts soutenus, la communauté scootériste avait conclu de nombreux accords visant à réduire les arsenaux de scooters « trop classes », à interdire le déploiement de ceux ci dans certaines régions et certains milieux (Gônerie et Bachi-bouzoukie, par exemple), à limiter la prolifération et surtout la divagation des scooters « trop classes ».

Malgré ces avancées, les scooters « trop classes » et leur prolifération demeurent un danger majeur pour la paix et restent au premier plan des préoccupations de la communauté scootériste.

Comment accepter de rouler sur un scooter PX à coté d'un Vespa GS ou d'un Lambretta DL, sans réagir, sans la totale remise en cause du système, et ressentir la fin d'une période de stabilité?

En 2004, la Cour internationale de Justice Scootériste Gonienne, (présidée par le Steeve McQueen du droit : Julien69) a examiné les aspects juridiques de la menace ou de l’utilisation des scooters « trop classes » et, dans un avis a affirmé l’obligation universelle de rouler avec des scooters acceptables, et soignés, qui n'attirent pas la convoitise de tous.

Le Traité de janvier 2008 sur la non-prolifération des scooters « trop classes », qui a été prorogé pour une durée indéfinie, est considéré comme la pierre angulaire du régime de non-prolifération des des scooters « trop classes » dans la Gônerie élargie. La SSE10 (Société Secrète Escouade 10) joue un rôle de premier plan dans la surveillance des micro-états, pour éviter la prolifération des scooters « trop classes ».

La SSE10 sert de corps d'inspection gônien en ce qui concerne l'application des garanties scootéristes et les mesures de vérification applicables aux programmes de développement du parc scooters (nommés également skeuterss).

Aux termes d'accords conclus et protocoles additionnels aux accords de garanties en vigueur (Protocole du Béranger, Protocole de l'Osteria Valenti, Protocole du Voxx, Protocole de Fabio), les Etats (libres ou non) non dotés de scooters « trop classes » sont tenus de soumettre à la SSE10, tous leurs projets et activités visant à acquérir ou développer une flotte de deux roues concernés à ces accords.

Aujourd'hui, contrairement à l'ensemble de ces accords, les bachi-bouzouks ont transgressé les engagements pourtant formalisés. Sur le territoire « gônerie » élargie, 3 scooters 160 GS, et de multiples Lambrettas (aujourd'hui non recensés, car souvent en panne ou démontés ; et non visibles de nos observateurs) sont présents et constituent une menace importante sur l'équilibre géo-politique-scootériste gonien.

Pour relancer le processus de paix et offrir à la population une sécurité minimale, deux pistes majeures s’avèrent incontournables :
  • D’une part, il faut exercer une réelle pression diplomatique, politique, mais aussi militaire auprès des bachi-bouzouks impliqués, notamment grâce à l’envoi de la SSE10, (la SSE10 bien aimée).

  • D’autre part et parallèlement, il est primordial de saisir et confisquer ces scooters « trop classes », qui nous brûlent les yeux.

Manifestation ce soir (12/3/2009) place Bellecour 18.30h.

On compte sur toi.

Mon film préféré : THX 1138 (résumé)

Au XXVe siècle, dans une cité souterraine qui ressemble à une termitière humaine où chacun s'identifie par un code de 3 lettres et 4 chiffres, THX 1138 est un technicien tout à fait ordinaire travaillant sur une chaîne d'assemblage de policiers-robots.

THX 1138 partage son appartement avec LUH 3417, une colocataire dont le comportement l’inquiète. Elle a décidé de renoncer aux sédatifs imposés et substitue des cachets sans effet à ceux que prend THX. Celui-ci commence à ressentir des émotions, à commettre des erreurs dans son travail tandis qu’il émerge peu à peu de son rêve éveillé. Ils se découvrent et s’éprennent l’un de l’autre, font l’amour et envisagent de s’enfuir dans la « superstructure » pour y vivre libres. Mais avant de pouvoir mettre leur plan a exécution, ils sont arrêtés et envoyés dans un centre de rééducation.
THX et LUH pris en flagrant délit d’activité « criminelle ».
Alors que la plupart des prisonniers se résignent, THX décide de s’échapper en compagnie d’un autre détenu, SEN 5241, et de l’hologramme rebelle SRT. Ils découvrent une sortie et réintègrent la citée, où ils sont traqués par la police. THX apprend l’élimination de LUH, jugée irrécupérable. Les fugitifs sont rapidement séparés : tandis que SEN cherche les limites de la ville dans les souterrains du métro et se fait de nouveau arrêter, THX et SRT tentent de fuir au volant de véhicules volés. Celui de SRT est tout de suite accidenté, mais une course-poursuite s’engage entre THX et des policiers à moto. Il atteint l’extrémité du réseau routier et commence l’ascension d’un puits d’aération menant à la surface, toujours poursuivi par les policiers. Mais le budget alloué à sa capture est dépassé et les agents reçoivent l’ordre d’interrompre leur mission. THX atteint enfin la surface et se dresse face au soleil couchant qui embrase le ciel où volent librement quelques oiseaux.

THX1138 : mon temps est le tien

Festival Film Pas Long : rétrospective

Festival Film Pas Long : rétrospective
Ci dessous, par ordre chronologique, les films de la production ALACON

Mon Plastoc

Festival international du Film pas long du VCL 2006 1ere édition

-"Plastoc" : finaliste Festival Film Pas Long 2006

Rappel : Vainqueur film "V" avec le magnifique Julien BARBET.

160 Série Noire

Festival international du Film pas long du VCL 2007 2ème édition --"160 série noire" - LYON -- Vilo d'Or - meilleur film Réalisation : Jean Marc Halitim et Thomas Corset Pignon d'axe secondaire du meilleur second rôle Thomas Corset

Fais pas le mariole

Festival international du Film pas long du VCL 2008 3ème édition

-"Fais pas le mariole "

Distribution (par ordre alphabétique) : Thomas CORSET, Jean Marc HALITIM, Sylvain THIEBAULT

Prix : -meilleur montage et effets spéciaux 2008 : Thomas CORSET.

-meilleur premier rôle 2008 : Jean Marc HALITIM.

Zone 302

Le public veut du zombie/space invaders/gore. VOILA

Fils de joie