DdG
Son PX en panne, Hulk hurle, je sais ce qu'il ressent.
vendredi 26 février 2010
vendredi 12 février 2010
gÔnerie occidentale et gÔnerie orientale pour les nuls 1.4
Titre 1 Les Origines
Quatrième partie - L'explication alimentaire :
La gÔnerie Orientale est devenu au fil des ans, le secteur n°1 de vente de Kebab.
En effet 3/5 kebab en France sont vendus et consommés sur la Croix Rousse.
Les jeunes punk-urbains et les garagistes de la Drouille apprécient tout autant ce qu'ils appellent indifféremment un "grec" ou un "kebab", qu'ils dévorent eux aussi en déambulant avec leurs chiens crasseux ou en baclant la restauration d'une de leur machine.
Manger sur la voie publique n'est plus une transgression en gÔnerie orientale (en reste t-il d'ailleurs).
Le Kebab est bon marché, concession alimentaire à la mode "ethnique" rassasie davantage qu'un McDo et donne accès au rituel du partage car on le mange à plusieurs comme un "porc de malotru" (disent les gÔniens occidentaux).
La propagande au goût de chiottes bachibouzouk fait observer qu'un döner kebab contient tous les éléments nécessaires à un repas équilibré : les céréales apportées par le pain, les légumes et les fruits, représentés par la salade, les oignons et la tomate, les corps gras de la sauce, les protéines de la viande.
Encore faut-il que les proportions soient bonnes. Et que la viande soit de qualité...
Dans les pentes de la Croix Rousse la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) au cours de l'opération "Save the Bachibouzouk of himself", a dressé pas moins de 657 procès-verbaux et observations pour 658 contrôles effectués.
En juillet dernier, la DGCCRF a verbalisé un camion combi volkswagen bleu et blanc contenant des viandes de kebab en cours de décongélation et transportées à température ambiante par un salarié de la SNCF sans permis de conduire et sans assurance et circulant de surcroît en plein sens interdit.
Par cette alimentation intermondialiste, ce territoire fut rapidement appelé gÔnerie orientale et par opposition, le reste de la ville conservant une alimentation dite traditionnelle pris le qualificatif de "occidentale" pour l'autre partie de la gÔnerie.
Quatrième partie - L'explication alimentaire :
La gÔnerie Orientale est devenu au fil des ans, le secteur n°1 de vente de Kebab.
En effet 3/5 kebab en France sont vendus et consommés sur la Croix Rousse.
Les jeunes punk-urbains et les garagistes de la Drouille apprécient tout autant ce qu'ils appellent indifféremment un "grec" ou un "kebab", qu'ils dévorent eux aussi en déambulant avec leurs chiens crasseux ou en baclant la restauration d'une de leur machine.
Manger sur la voie publique n'est plus une transgression en gÔnerie orientale (en reste t-il d'ailleurs).
Le Kebab est bon marché, concession alimentaire à la mode "ethnique" rassasie davantage qu'un McDo et donne accès au rituel du partage car on le mange à plusieurs comme un "porc de malotru" (disent les gÔniens occidentaux).
La propagande au goût de chiottes bachibouzouk fait observer qu'un döner kebab contient tous les éléments nécessaires à un repas équilibré : les céréales apportées par le pain, les légumes et les fruits, représentés par la salade, les oignons et la tomate, les corps gras de la sauce, les protéines de la viande.
Encore faut-il que les proportions soient bonnes. Et que la viande soit de qualité...
Dans les pentes de la Croix Rousse la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) au cours de l'opération "Save the Bachibouzouk of himself", a dressé pas moins de 657 procès-verbaux et observations pour 658 contrôles effectués.
En juillet dernier, la DGCCRF a verbalisé un camion combi volkswagen bleu et blanc contenant des viandes de kebab en cours de décongélation et transportées à température ambiante par un salarié de la SNCF sans permis de conduire et sans assurance et circulant de surcroît en plein sens interdit.
Par cette alimentation intermondialiste, ce territoire fut rapidement appelé gÔnerie orientale et par opposition, le reste de la ville conservant une alimentation dite traditionnelle pris le qualificatif de "occidentale" pour l'autre partie de la gÔnerie.
gÔnerie occidentale et gÔnerie orientale pour les nuls 1.3
Titre 1 Les Origines
Troisième partie - L'explication démographique :
L'émigration chinoise, dont les débuts remontaient au haut Moyen Âge, s'est accélérée au XIXe siècle à l'occasion des troubles politiques liés à la décadence du régime impérial et au dépeçage de la Chine par les puissances occidentales.
Dès le milieu du XIXe siècle, les massacres, la famine et l'indicible misère conduisent les Chinois à migrer vers le la France et spécifiquement les territoires de gÔnerie.
Suite au traité de la Boule Lyonnaise (1868) entre la Chine et les territoires de gÔnerie, la Chine accepte de lever les restrictions à l'émigration, favorisant ainsi l'installation d'une diaspora sur Lyon.
Avec les poussées de xénophobie (le « péril ping pong »), le BirdyMiamMiam Act de 1882 tend à limiter cette émigration obligeant les immigrants chinois à s'acquitter d'une taxe d'entrée.
En raison de cette taxe d'entrée, les chinois restèrent à la périphérie de la ville. L'extension de celle ci au cours du XXeme siècle rattrapa cette ancienne frontière, et cette partie fut rapidement appelée "gÔnerie Orientale".
D'ailleurs, les chinois qu'ils soient Huáqiáo (华侨 émigrés vivant hors de la République populaire de Chine mais conservant la nationalité chinoise ou bien Huáyì (华裔 émigrés d'origine ethnique chinoise mais ayant pris la nationalité du pays d'accueil) furent rapidement rejoins par d'autre ethnies fuyant la misère et la famine de leurs pays respectifs.
Troisième partie - L'explication démographique :
L'émigration chinoise, dont les débuts remontaient au haut Moyen Âge, s'est accélérée au XIXe siècle à l'occasion des troubles politiques liés à la décadence du régime impérial et au dépeçage de la Chine par les puissances occidentales.
Dès le milieu du XIXe siècle, les massacres, la famine et l'indicible misère conduisent les Chinois à migrer vers le la France et spécifiquement les territoires de gÔnerie.
Suite au traité de la Boule Lyonnaise (1868) entre la Chine et les territoires de gÔnerie, la Chine accepte de lever les restrictions à l'émigration, favorisant ainsi l'installation d'une diaspora sur Lyon.
Avec les poussées de xénophobie (le « péril ping pong »), le BirdyMiamMiam Act de 1882 tend à limiter cette émigration obligeant les immigrants chinois à s'acquitter d'une taxe d'entrée.
En raison de cette taxe d'entrée, les chinois restèrent à la périphérie de la ville. L'extension de celle ci au cours du XXeme siècle rattrapa cette ancienne frontière, et cette partie fut rapidement appelée "gÔnerie Orientale".
D'ailleurs, les chinois qu'ils soient Huáqiáo (华侨 émigrés vivant hors de la République populaire de Chine mais conservant la nationalité chinoise ou bien Huáyì (华裔 émigrés d'origine ethnique chinoise mais ayant pris la nationalité du pays d'accueil) furent rapidement rejoins par d'autre ethnies fuyant la misère et la famine de leurs pays respectifs.
gÔnerie occidentale et gÔnerie orientale pour les nuls 1.2
Titre 1 Les Origines
Deuxième partie - L'explication historique :
En 452, les bachibouzouks semaient la terreur sur leur passage et ont contribué à la dislocation de l'Empire romain, par le fait qu'ils ont, par la formation de leur empire éphémère, bousculé les autres peuples dits "barbares de drouille".
Leur coalition de peuples hétéroclites formant la nation Malotru-bachibouzouk pratique la même tactique fondée sur la mobilité (des raids rapides).
Les bachibouzouks renversent les royaumes ostrogoth, wisigoth, et grosblairoth et fondent un empire en Europe (l'actuelle gÔnerie Orientale), sous le règne Malotru Ier, regroupant tous les peuples de sous merdes qu'ils ont vaincu.
Après une série de campagnes et de conquêtes en Gaule et en Italie, cet empire disparaît soudainement à la mort de son chef en 455, en cours de sédentarisation sur le quartier du Gros Caillou (Malotru Ier glissa dans sa propre fosse d'aisance où il se noya).
8
Venu de l'Est, cette peuplade s'implanta dans le nord de la gÔnerie (Croix Rousse) et prit le qualificatif de gÔnerie orientale.
Deuxième partie - L'explication historique :
En 452, les bachibouzouks semaient la terreur sur leur passage et ont contribué à la dislocation de l'Empire romain, par le fait qu'ils ont, par la formation de leur empire éphémère, bousculé les autres peuples dits "barbares de drouille".
Leur coalition de peuples hétéroclites formant la nation Malotru-bachibouzouk pratique la même tactique fondée sur la mobilité (des raids rapides).
Les bachibouzouks renversent les royaumes ostrogoth, wisigoth, et grosblairoth et fondent un empire en Europe (l'actuelle gÔnerie Orientale), sous le règne Malotru Ier, regroupant tous les peuples de sous merdes qu'ils ont vaincu.
Après une série de campagnes et de conquêtes en Gaule et en Italie, cet empire disparaît soudainement à la mort de son chef en 455, en cours de sédentarisation sur le quartier du Gros Caillou (Malotru Ier glissa dans sa propre fosse d'aisance où il se noya).
8Venu de l'Est, cette peuplade s'implanta dans le nord de la gÔnerie (Croix Rousse) et prit le qualificatif de gÔnerie orientale.
gÔnerie occidentale et gÔnerie orientale pour les nuls 1.1
Titre 1 Les Origines
Première partie - L'explication géologique :
Au début du XXe siècle, Julio Wegener remarque que par la disposition des continents, la côte est de l'Amérique du Sud semble s'emboîter parfaitement dans la côte ouest de l'Afrique.
Julio Wegener est le premier à alors proposer, à partir de cette observation, la théorie de la dérive des continents : un supercontinent, la Pangée de Julio, se serait fragmenté au début de l'ère secondaire et, depuis cette date, les masses continentales issues de cette fragmentation dériveraient à la surface de la Terre.
L'hypothèse des mouvements de convection dans le manteau, émise par Arthur Holmes en 1945, propose un moteur plausible à ces déplacements de continents.
Mais c'est la compréhension du fonctionnement des fonds océaniques, avec l'hypothèse du double tapis roulant formulée par Harry Hess en 1962, qui marque une véritable révolution des sciences de la Terre.
En 1967 Jack Gratton de l'université de Evanston évoque dans un ouvrage passionnant "les lambrettas se cachent pour mourir" (l'ouvrage n'est plus édité) l'idée d'un mouvement rotatif antihoraire sur la gônerie. Mouvement qui à conduit à identifier une différence paradoxale de la gÔnerie orientale au Nord/Ouest-Ouest, et une gÔnerie occidentale au Sud/Est-Est.
La PaléogÔnerie (ancienne masse continentale dans le passé géologique de la gÔnerie, il y a 180 millions d'années) a été soumise aux forces contradictoires exercées en cisaillements.
La frontière des plaques divergentes est située dans le lit du Rhône. Il s'agit d'un mouvement rotatif anti-horaire extensif éloignant deux plaques l'une de l'autre, laissant le manteau remonter entre elles (avec la formation de la colline de Fourvière). L'axe de rotation des plaques étant constitué par le la roche métamorphique de la Mulatière et de Sainte Foy les Lyon.
Ces explications ne sont pas exclusives ; considérées comme majeures jusque dans les années 1990, elles ont été fortement remises en question.
Première partie - L'explication géologique :
Au début du XXe siècle, Julio Wegener remarque que par la disposition des continents, la côte est de l'Amérique du Sud semble s'emboîter parfaitement dans la côte ouest de l'Afrique.
Julio Wegener est le premier à alors proposer, à partir de cette observation, la théorie de la dérive des continents : un supercontinent, la Pangée de Julio, se serait fragmenté au début de l'ère secondaire et, depuis cette date, les masses continentales issues de cette fragmentation dériveraient à la surface de la Terre.
L'hypothèse des mouvements de convection dans le manteau, émise par Arthur Holmes en 1945, propose un moteur plausible à ces déplacements de continents.Mais c'est la compréhension du fonctionnement des fonds océaniques, avec l'hypothèse du double tapis roulant formulée par Harry Hess en 1962, qui marque une véritable révolution des sciences de la Terre.
En 1967 Jack Gratton de l'université de Evanston évoque dans un ouvrage passionnant "les lambrettas se cachent pour mourir" (l'ouvrage n'est plus édité) l'idée d'un mouvement rotatif antihoraire sur la gônerie. Mouvement qui à conduit à identifier une différence paradoxale de la gÔnerie orientale au Nord/Ouest-Ouest, et une gÔnerie occidentale au Sud/Est-Est.
La PaléogÔnerie (ancienne masse continentale dans le passé géologique de la gÔnerie, il y a 180 millions d'années) a été soumise aux forces contradictoires exercées en cisaillements.La frontière des plaques divergentes est située dans le lit du Rhône. Il s'agit d'un mouvement rotatif anti-horaire extensif éloignant deux plaques l'une de l'autre, laissant le manteau remonter entre elles (avec la formation de la colline de Fourvière). L'axe de rotation des plaques étant constitué par le la roche métamorphique de la Mulatière et de Sainte Foy les Lyon.
Ces explications ne sont pas exclusives ; considérées comme majeures jusque dans les années 1990, elles ont été fortement remises en question.
mercredi 3 février 2010
Inscription à :
Articles (Atom)
Festival Film Pas Long : rétrospective
Ci dessous, par ordre chronologique, les films de la production ALACON
