DdG
Mon travail de témoin et de journaliste en Gônerie :
Mon activité est avant tout un journalisme d'enquête, un journalisme d'investigation, un travail sur des recherches approfondies (us et coutumes gôniens).
En consultant différentes sources et en interrogeant plusieurs spécialistes d'un sujet ou témoins d'un événement, je compacte et trie plus efficacement les informations et découvre des faits inédits. Ma connaissance des faits tiendra donc mieux compte de la réalité et son analyse sera ainsi de meilleure qualité.
La définition du journalisme d'investigation, selon la déontologie du journalisme, implique également une indépendance vis-à-vis des pouvoirs politiques ou économiques (infiltration du V.C.L. et pilotage en sous marin), et une profondeur d'analyse qui résiste à la tentation de la démagogie ou à la course à l'exclusivité.
Mes règles dans ce blog sont les suivantes :
- devoir d'informer,
- respect du lecteur,
- intérêt public,
- droit de savoir
- indépendance à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, des puissants en général,
- respect de la vie privée (celle des autres parfois, la mienne toujours),
- protection des sources,
- droit, conscience et morale.
Ces règles de conduite définissent ma légitimité et ma crédibilité.
Cet ensemble est basé sur deux principes basiques : la responsabilité et la véracité informative.
Par l'application de cet ensemble normatif, formant la déontologie ou l'éthique journaliste, je suis protégé des manœuvres de propagande, de promotion et de désinformation.
"C'est ça qu'jdis."
En consultant différentes sources et en interrogeant plusieurs spécialistes d'un sujet ou témoins d'un événement, je compacte et trie plus efficacement les informations et découvre des faits inédits. Ma connaissance des faits tiendra donc mieux compte de la réalité et son analyse sera ainsi de meilleure qualité.
La définition du journalisme d'investigation, selon la déontologie du journalisme, implique également une indépendance vis-à-vis des pouvoirs politiques ou économiques (infiltration du V.C.L. et pilotage en sous marin), et une profondeur d'analyse qui résiste à la tentation de la démagogie ou à la course à l'exclusivité.
Mes règles dans ce blog sont les suivantes :
- devoir d'informer,
- respect du lecteur,
- intérêt public,
- droit de savoir
- indépendance à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, des puissants en général,
- respect de la vie privée (celle des autres parfois, la mienne toujours),
- protection des sources,
- droit, conscience et morale.
Ces règles de conduite définissent ma légitimité et ma crédibilité.
Cet ensemble est basé sur deux principes basiques : la responsabilité et la véracité informative.
Par l'application de cet ensemble normatif, formant la déontologie ou l'éthique journaliste, je suis protégé des manœuvres de propagande, de promotion et de désinformation.
"C'est ça qu'jdis."
lundi 26 avril 2010
vendredi 23 avril 2010
La formidable réponse de Didus à Jean-Saul Partre
Didus a écrit : "Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur l'aile de mon TS, je m'approchai et je lus :" les Fuckin' saturday ass puent du cul." Mon coeur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. "Puer du cul", ça ne pouvait être qu'un de ces "vilains mots" qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un garcon bien élevé de la gônerie occidentale ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à mon aile, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans le trou du pot déchappement. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme :"les fuckin saturday ass" qu'il épouvantait plus encore : les mots "puent du cul", après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens ; mais je savais très bien qui on appelait "fuckin' ass" dans ma famille : les bachibouzoucks, les communistes, les malotrus, bref les vieux pauvres.[...] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant " bonjour, Monsieur le joueur de la SNFA" et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon coeur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : " ces vieux sagouins puent comme des cochons qui ne savent pas jouer. " Je murmurai :" les fuckin' saturday ass puent du cul " et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour les autres joueurs de la SNFA, pour leurs cols de celluloïd et leurs noeuds à papillon.
Garibaldi ou la Nausée (1938)."
jeudi 22 avril 2010
Citations de Jean-Saul Partre
"Il n'y a pour le bowling qu'une façon de jouer, c'est d'avoir conscience de son style pour triompher".
Les chemins de la liberté Garibaldi (1952)
Jean-Saul Partre.
"Le Flamingo est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est".
L'Être, le Néant et le Bachibouzouk (1952)
Jean-Saul Partre.
"En fait, nous sommes tous amenés à être joueurs "Saturday Nigth Fever Ass." par notre courage et volonté. Nous sommes condamnés à joué élégamment en toute sincérité".
Les Séquestrés de Scooterama (1959)
Jean-Saul Partre.
"Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut surtout lorsqu'on est un Flamingo apeuré, mais on est responsable de ce que l'on est, même après une branlée".
Les jeux sont faits, goodbye les Flamingos (1947)
Jean-Saul Partre.
"La vie, c'est une boule dans une explosion de quilles en feu".
Sésé, ou la Fille du tonnerre
Jean-Saul Partre.
"Autrui, le Flamingo, le malotru, le bachi-bouzouk, c'est l'autre, c'est-à-dire le moi qui n'est pas moi".
Les Mains sales après bowling(1948)
Jean-Saul Partre.
"Le joueur Saturday Nigth Fever Ass. se fait ; il n'est pas tout fait d'abord, il se fait petit à petit en peaufinant son style et son élégance, il se fait ensuite en choisissant sa morale. Une morale à mille lieux de la conception d'un Flamingo qui sous la pression des circonstances ne peut pas ne pas en choisir une".
Les Mouches sur le Flamingo (1943)
Jean-Saul Partre.
"Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut surtout lorsqu'on est un Flamingo apeuré, mais on est responsable de ce que l'on est, même après une branlée".
Les jeux sont faits, goodbye les Flamingos (1947)
Jean-Saul Partre.
"La vie, c'est une boule dans une explosion de quilles en feu".
Sésé, ou la Fille du tonnerre (1961)
Jean-Saul Partre.
"Le monde peut fort bien se passer de bowling. Mais il peut se passer de Flamingo encore mieux".
Les Mouches sur le Flamingo (1943)
Jean-Saul Partre.
"Plus claire la lumière des S.N.F.As, plus sombre l'obscurité des Flamingos... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.
Pourtant, à contempler la feuille de scores, nul besoin de philosopher".
interview Journal PIF (1968)
Jean-Saul Partre.
Les chemins de la liberté Garibaldi (1952)
Jean-Saul Partre.
"Le Flamingo est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est".
L'Être, le Néant et le Bachibouzouk (1952)
Jean-Saul Partre.
"En fait, nous sommes tous amenés à être joueurs "Saturday Nigth Fever Ass." par notre courage et volonté. Nous sommes condamnés à joué élégamment en toute sincérité".
Les Séquestrés de Scooterama (1959)
Jean-Saul Partre.
"Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut surtout lorsqu'on est un Flamingo apeuré, mais on est responsable de ce que l'on est, même après une branlée".
Les jeux sont faits, goodbye les Flamingos (1947)
Jean-Saul Partre.
"La vie, c'est une boule dans une explosion de quilles en feu".
Sésé, ou la Fille du tonnerre
Jean-Saul Partre.
"Autrui, le Flamingo, le malotru, le bachi-bouzouk, c'est l'autre, c'est-à-dire le moi qui n'est pas moi".
Les Mains sales après bowling(1948)
Jean-Saul Partre.
"Le joueur Saturday Nigth Fever Ass. se fait ; il n'est pas tout fait d'abord, il se fait petit à petit en peaufinant son style et son élégance, il se fait ensuite en choisissant sa morale. Une morale à mille lieux de la conception d'un Flamingo qui sous la pression des circonstances ne peut pas ne pas en choisir une".
Les Mouches sur le Flamingo (1943)
Jean-Saul Partre.
"Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut surtout lorsqu'on est un Flamingo apeuré, mais on est responsable de ce que l'on est, même après une branlée".
Les jeux sont faits, goodbye les Flamingos (1947)
Jean-Saul Partre.
"La vie, c'est une boule dans une explosion de quilles en feu".
Sésé, ou la Fille du tonnerre (1961)
Jean-Saul Partre.
"Le monde peut fort bien se passer de bowling. Mais il peut se passer de Flamingo encore mieux".
Les Mouches sur le Flamingo (1943)
Jean-Saul Partre.
"Plus claire la lumière des S.N.F.As, plus sombre l'obscurité des Flamingos... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.
Pourtant, à contempler la feuille de scores, nul besoin de philosopher".
interview Journal PIF (1968)
Jean-Saul Partre.
Jean Saul Partre, sccotériste de gÔnerie témoigne
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Mon film préféré : THX 1138 (résumé)
Au XXVe siècle, dans une cité souterraine qui ressemble à une termitière humaine où chacun s'identifie par un code de 3 lettres et 4 chiffres, THX 1138 est un technicien tout à fait ordinaire travaillant sur une chaîne d'assemblage de policiers-robots.
THX 1138 partage son appartement avec LUH 3417, une colocataire dont le comportement l’inquiète. Elle a décidé de renoncer aux sédatifs imposés et substitue des cachets sans effet à ceux que prend THX. Celui-ci commence à ressentir des émotions, à commettre des erreurs dans son travail tandis qu’il émerge peu à peu de son rêve éveillé. Ils se découvrent et s’éprennent l’un de l’autre, font l’amour et envisagent de s’enfuir dans la « superstructure » pour y vivre libres. Mais avant de pouvoir mettre leur plan a exécution, ils sont arrêtés et envoyés dans un centre de rééducation.
THX et LUH pris en flagrant délit d’activité « criminelle ».
Alors que la plupart des prisonniers se résignent, THX décide de s’échapper en compagnie d’un autre détenu, SEN 5241, et de l’hologramme rebelle SRT. Ils découvrent une sortie et réintègrent la citée, où ils sont traqués par la police. THX apprend l’élimination de LUH, jugée irrécupérable. Les fugitifs sont rapidement séparés : tandis que SEN cherche les limites de la ville dans les souterrains du métro et se fait de nouveau arrêter, THX et SRT tentent de fuir au volant de véhicules volés. Celui de SRT est tout de suite accidenté, mais une course-poursuite s’engage entre THX et des policiers à moto. Il atteint l’extrémité du réseau routier et commence l’ascension d’un puits d’aération menant à la surface, toujours poursuivi par les policiers. Mais le budget alloué à sa capture est dépassé et les agents reçoivent l’ordre d’interrompre leur mission. THX atteint enfin la surface et se dresse face au soleil couchant qui embrase le ciel où volent librement quelques oiseaux.
THX 1138 partage son appartement avec LUH 3417, une colocataire dont le comportement l’inquiète. Elle a décidé de renoncer aux sédatifs imposés et substitue des cachets sans effet à ceux que prend THX. Celui-ci commence à ressentir des émotions, à commettre des erreurs dans son travail tandis qu’il émerge peu à peu de son rêve éveillé. Ils se découvrent et s’éprennent l’un de l’autre, font l’amour et envisagent de s’enfuir dans la « superstructure » pour y vivre libres. Mais avant de pouvoir mettre leur plan a exécution, ils sont arrêtés et envoyés dans un centre de rééducation.
THX et LUH pris en flagrant délit d’activité « criminelle ».
Alors que la plupart des prisonniers se résignent, THX décide de s’échapper en compagnie d’un autre détenu, SEN 5241, et de l’hologramme rebelle SRT. Ils découvrent une sortie et réintègrent la citée, où ils sont traqués par la police. THX apprend l’élimination de LUH, jugée irrécupérable. Les fugitifs sont rapidement séparés : tandis que SEN cherche les limites de la ville dans les souterrains du métro et se fait de nouveau arrêter, THX et SRT tentent de fuir au volant de véhicules volés. Celui de SRT est tout de suite accidenté, mais une course-poursuite s’engage entre THX et des policiers à moto. Il atteint l’extrémité du réseau routier et commence l’ascension d’un puits d’aération menant à la surface, toujours poursuivi par les policiers. Mais le budget alloué à sa capture est dépassé et les agents reçoivent l’ordre d’interrompre leur mission. THX atteint enfin la surface et se dresse face au soleil couchant qui embrase le ciel où volent librement quelques oiseaux.
THX1138 : mon temps est le tien
Festival Film Pas Long : rétrospective
Mon Plastoc
Festival international du Film pas long du VCL 2006 1ere édition
-"Plastoc" : finaliste Festival Film Pas Long 2006
Rappel : Vainqueur film "V" avec le magnifique Julien BARBET.
160 Série Noire
Festival international du Film pas long du VCL 2007
2ème édition
--"160 série noire" - LYON --
Vilo d'Or - meilleur film
Réalisation : Jean Marc Halitim et Thomas Corset
Pignon d'axe secondaire du meilleur second rôle
Thomas Corset
Fais pas le mariole
Festival international du Film pas long du VCL 2008 3ème édition
-"Fais pas le mariole "
Distribution (par ordre alphabétique) : Thomas CORSET, Jean Marc HALITIM, Sylvain THIEBAULT
Prix : -meilleur montage et effets spéciaux 2008 : Thomas CORSET.
-meilleur premier rôle 2008 : Jean Marc HALITIM.
Zone 302
Le public veut du zombie/space invaders/gore.
VOILA