DdG

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Son PX en panne, Hulk hurle, je sais ce qu'il ressent.

Mon travail de témoin et de journaliste en Gônerie :

Mon activité est avant tout un journalisme d'enquête, un journalisme d'investigation, un travail sur des recherches approfondies (us et coutumes gôniens).

En consultant différentes sources et en interrogeant plusieurs spécialistes d'un sujet ou témoins d'un événement, je compacte et trie plus efficacement les informations et découvre des faits inédits. Ma connaissance des faits tiendra donc mieux compte de la réalité et son analyse sera ainsi de meilleure qualité.

La définition du journalisme d'investigation, selon la déontologie du journalisme, implique également une indépendance vis-à-vis des pouvoirs politiques ou économiques (infiltration du V.C.L. et pilotage en sous marin), et une profondeur d'analyse qui résiste à la tentation de la démagogie ou à la course à l'exclusivité.

Mes règles dans ce blog sont les suivantes :
- devoir d'informer,
- respect du lecteur,
- intérêt public,
- droit de savoir
- indépendance à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, des puissants en général,
- respect de la vie privée (celle des autres parfois, la mienne toujours),
- protection des sources,
- droit, conscience et morale.

Ces règles de conduite définissent ma légitimité et ma crédibilité.

Cet ensemble est basé sur deux principes basiques : la responsabilité et la véracité informative.

Par l'application de cet ensemble normatif, formant la déontologie ou l'éthique journaliste, je suis protégé des manœuvres de propagande, de promotion et de désinformation.

"C'est ça qu'jdis."


lundi 17 mars 2008

International Klein Blue (IKB)

Yves Klein naît le 28 avril 1928 à Nice, de parents tous deux artistes. Son père, Fred Klein, est un peintre figuratif qui expose dès le début des années trente, et sa mère, Marie Raymond, peintre abstrait géométrique, est largement reconnue à partir de 1945. Cet environnement le familiarise très tôt avec le milieu artistique, mais Yves Klein s’oriente tout d’abord vers une autre carrière.
S’il peint spontanément depuis son adolescence, c’est en subordonnant la peinture à d’autres activités. Tout d’abord au judo auquel il s’initie en 1947, alors que cette pratique n’est pas encore réduite à un sport mais se veut une méthode d’éducation intellectuelle et morale visant à la maîtrise de soi.

C'est vers 1956 qu'il met au point sa fameuse formule du lumineux bleu outremer (ou bleu ultramarin) qu'il baptise IKB, « International Klein Blue ». Ses premiers monochromes IKB sont exposés en 1957 et inaugurent son « époque bleue ». Il travaille pour la première fois en 1957/58 avec des éponges teintes d'un bleu profond pour ses peintures murales. Il créera plus tard des reliefs spongieux et des sculptures d'éponges.
En mai 1957, Yves Klein célèbre l’avènement de « l’époque bleue » par un lâcher de 1001 ballons le soir du vernissage d’une double exposition à Paris. Ce geste, que Klein qualifiera plus tard de « sculpture aérostatique » sera reproduit 50 ans plus tard sur la piazza du Centre Beaubourg, à l’occasion de la clôture de l’exposition que le Musée national d'Art moderne lui consacrera en 2006-2007.

Les « Anthropométries », empreintes de corps de femmes nues et enduits de couleur bleue sur toiles blanches apparaîtront en 1960. De nombreuses « Anthropométries » ont été filmées comme de véritables événements, on peut en voir dans certains musées (Centre Pompidou entre autres).
Son bleu — l’IKB (International Klein Blue) — est officialisé lorsqu’il fait procéder à son enregistrement, le 19 mai 1960 à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) sous l'enveloppe Soleau N° 63 471. Elle décrit un médium fixatif (une pâte fluide originale substituée à l'huile, liant utilisé traditionnellement en peinture) qui fixe du pigment bleu outremer N° 1311.
En effet, Klein peint des monochromes car il privilégie l’expression de la sensibilité plutôt que la figuration dans la forme : « Pour peindre l’espace, je me dois de me rendre sur place, dans cet espace même... Sans trucs ni supercheries, ni non plus en avion ni en parachute ou en fusée : [le peintre de l’espace] doit y aller par lui-même, avec une force individuelle autonome, en un mot il doit être capable de léviter » et « Jamais par la ligne, on n’a pu créer dans la peinture une quatrième, cinquième ou une quelconque autre dimension ; seule la couleur peut tenter de réussir cet exploit ». Par ailleurs, il choisit de peindre en bleu à partir de 1957 car c’est la couleur la plus abstraite qui soit d’après lui : « Le bleu n'a pas de dimension, il est hors dimension, tandis que les autres couleurs elles en ont [...] Toutes les couleurs amènent des associations d’idées concrètes [...] tandis que le bleu rappelle tout au plus la mer et le ciel, ce qu'il y a de plus abstrait dans la nature tangible et visible. », faisant ainsi également référence au vide, car cela incite à l’imagination.
Source : Wikipedia


Happening Yves Klein Anthropométries

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Mon film préféré : THX 1138 (résumé)

Au XXVe siècle, dans une cité souterraine qui ressemble à une termitière humaine où chacun s'identifie par un code de 3 lettres et 4 chiffres, THX 1138 est un technicien tout à fait ordinaire travaillant sur une chaîne d'assemblage de policiers-robots.

THX 1138 partage son appartement avec LUH 3417, une colocataire dont le comportement l’inquiète. Elle a décidé de renoncer aux sédatifs imposés et substitue des cachets sans effet à ceux que prend THX. Celui-ci commence à ressentir des émotions, à commettre des erreurs dans son travail tandis qu’il émerge peu à peu de son rêve éveillé. Ils se découvrent et s’éprennent l’un de l’autre, font l’amour et envisagent de s’enfuir dans la « superstructure » pour y vivre libres. Mais avant de pouvoir mettre leur plan a exécution, ils sont arrêtés et envoyés dans un centre de rééducation.
THX et LUH pris en flagrant délit d’activité « criminelle ».
Alors que la plupart des prisonniers se résignent, THX décide de s’échapper en compagnie d’un autre détenu, SEN 5241, et de l’hologramme rebelle SRT. Ils découvrent une sortie et réintègrent la citée, où ils sont traqués par la police. THX apprend l’élimination de LUH, jugée irrécupérable. Les fugitifs sont rapidement séparés : tandis que SEN cherche les limites de la ville dans les souterrains du métro et se fait de nouveau arrêter, THX et SRT tentent de fuir au volant de véhicules volés. Celui de SRT est tout de suite accidenté, mais une course-poursuite s’engage entre THX et des policiers à moto. Il atteint l’extrémité du réseau routier et commence l’ascension d’un puits d’aération menant à la surface, toujours poursuivi par les policiers. Mais le budget alloué à sa capture est dépassé et les agents reçoivent l’ordre d’interrompre leur mission. THX atteint enfin la surface et se dresse face au soleil couchant qui embrase le ciel où volent librement quelques oiseaux.

THX1138 : mon temps est le tien

Festival Film Pas Long : rétrospective

Festival Film Pas Long : rétrospective
Ci dessous, par ordre chronologique, les films de la production ALACON

Mon Plastoc

Festival international du Film pas long du VCL 2006 1ere édition

-"Plastoc" : finaliste Festival Film Pas Long 2006

Rappel : Vainqueur film "V" avec le magnifique Julien BARBET.

160 Série Noire

Festival international du Film pas long du VCL 2007 2ème édition --"160 série noire" - LYON -- Vilo d'Or - meilleur film Réalisation : Jean Marc Halitim et Thomas Corset Pignon d'axe secondaire du meilleur second rôle Thomas Corset

Fais pas le mariole

Festival international du Film pas long du VCL 2008 3ème édition

-"Fais pas le mariole "

Distribution (par ordre alphabétique) : Thomas CORSET, Jean Marc HALITIM, Sylvain THIEBAULT

Prix : -meilleur montage et effets spéciaux 2008 : Thomas CORSET.

-meilleur premier rôle 2008 : Jean Marc HALITIM.

Zone 302

Le public veut du zombie/space invaders/gore. VOILA

Fils de joie