Doit on célébrer la fin de la St Barthélémy scootériste ?
qui d'après une source bien informée doit se tenir le mardi 23 oct 2012 place Sathonay à 19.15h
Il serait plus juste, d'après moi, de célébrer la journée de solidarité dans la lutte contre le bachibouzoukisme.
Ce qui a marqué l’histoire à jamais de la gÔnerie Unie, a commencé avant que les scootéristes graisseux et cambouisseux ne commentent l'irréparable dans le stickage des beaux scooters (Guerres gÔniennes I à III et St Barthélémy scootéristes du 23 oct 2009).
La naissance de groupuscules face à l'hégémonie Vespa Club (aujourd'hui Scooter Club) a contribué à la déstabilisation et l'embrasement de la gÔnerie.
La guerre contre le bachibouzoukisme semblait perdue dès son commencent. Ni la vigilance des forces de la gÔnerie occidentale, ni les services du renseignement ne pouvaient à l'époque nous protéger contre ce mal.
Avec la création du G.R.C. (Garibaldi Research Center), les analystes programmeurs, les plus perspicaces, capables de percer à jour tout complot, éliminer tout organisateur et désamorcer n’importe quel scooter piégé (mais pas de les réparer), se sont dotés d'appareils électroniques super puissants, super complexes, et super balaises à utiliser.
Le millier d'écoutes téléphoniques, d'écoutes aux portes, d'écoutes à la machine à café (79 en 2007, 235 en 2008, 911 en 2009, 1265 en 2010, 5847 en 2011) franchit dès 2009 témoigne de l'escalade de ce mal en gÔnerie.
Le bachibouzoukisme a souvent une longueur d’avance – "comme la bêtise". Cette avance peut être empêchée, gênée, contrecarrée. On peut minimiser ses conséquences (mais l'éradiquer définitivement?).
Aujourd'hui, posséder un scooter, vouloir être différent, contester une sortie dominicale du club (ex : facteur cheval), faire des films pas longs d'1.30h, sont des motifs suffisants pour donner naissance à une contestation multiforme et voir émerger des groupuscules bachibouzouks identitaires.
Il est possible de combattre une entité dont la ressource est vulnérable ou épuisable ; mais le bachibouzoukisme?
Le bachibouzoukisme aura toujours un motif, et ce motif sera toujours offensif.
Le M.U.R.S.C.L. par sa tentative de fédérer et ramener "au bercail", les scootéristes dépravés en pleine recherche spirituelle d'identité, a occuper un temps les avant-postes contre le bachibouzoukisme, mais faute d'adhérents en nombre suffisant, le péril est de retour dans la maison gÔnerie.
Je lance un appel solennel à la population de la gÔnerie Unie pour identifier les bachibouzouks dormants ou actifs.
Tout comportement suspect doit être signalé à son comité de vigilance de quartier.
-Un scooter est sale, mal stationné, avec des autocollants disgracieux aux messages improbables : vous devez le signaler,
-Des scootéristes se réunissent dans un garage dans la journée ou la nuit : vous devez le signaler
-Un scootériste a du cambouis sur les mains : vous devez le signaler
-Si c'est un parent, un frère, une sœur, vous devez le signaler aussi, vous le sauverez peut être à temps.
Aidez le à s'en sortir...
MERCI
qui d'après une source bien informée doit se tenir le mardi 23 oct 2012 place Sathonay à 19.15h
Il serait plus juste, d'après moi, de célébrer la journée de solidarité dans la lutte contre le bachibouzoukisme.
Ce qui a marqué l’histoire à jamais de la gÔnerie Unie, a commencé avant que les scootéristes graisseux et cambouisseux ne commentent l'irréparable dans le stickage des beaux scooters (Guerres gÔniennes I à III et St Barthélémy scootéristes du 23 oct 2009).
La naissance de groupuscules face à l'hégémonie Vespa Club (aujourd'hui Scooter Club) a contribué à la déstabilisation et l'embrasement de la gÔnerie.
La guerre contre le bachibouzoukisme semblait perdue dès son commencent. Ni la vigilance des forces de la gÔnerie occidentale, ni les services du renseignement ne pouvaient à l'époque nous protéger contre ce mal.
Avec la création du G.R.C. (Garibaldi Research Center), les analystes programmeurs, les plus perspicaces, capables de percer à jour tout complot, éliminer tout organisateur et désamorcer n’importe quel scooter piégé (mais pas de les réparer), se sont dotés d'appareils électroniques super puissants, super complexes, et super balaises à utiliser.
Le millier d'écoutes téléphoniques, d'écoutes aux portes, d'écoutes à la machine à café (79 en 2007, 235 en 2008, 911 en 2009, 1265 en 2010, 5847 en 2011) franchit dès 2009 témoigne de l'escalade de ce mal en gÔnerie.
Le bachibouzoukisme a souvent une longueur d’avance – "comme la bêtise". Cette avance peut être empêchée, gênée, contrecarrée. On peut minimiser ses conséquences (mais l'éradiquer définitivement?).
Aujourd'hui, posséder un scooter, vouloir être différent, contester une sortie dominicale du club (ex : facteur cheval), faire des films pas longs d'1.30h, sont des motifs suffisants pour donner naissance à une contestation multiforme et voir émerger des groupuscules bachibouzouks identitaires.
Il est possible de combattre une entité dont la ressource est vulnérable ou épuisable ; mais le bachibouzoukisme?
Le bachibouzoukisme aura toujours un motif, et ce motif sera toujours offensif.
Le M.U.R.S.C.L. par sa tentative de fédérer et ramener "au bercail", les scootéristes dépravés en pleine recherche spirituelle d'identité, a occuper un temps les avant-postes contre le bachibouzoukisme, mais faute d'adhérents en nombre suffisant, le péril est de retour dans la maison gÔnerie.
Je lance un appel solennel à la population de la gÔnerie Unie pour identifier les bachibouzouks dormants ou actifs.
Tout comportement suspect doit être signalé à son comité de vigilance de quartier.
-Un scooter est sale, mal stationné, avec des autocollants disgracieux aux messages improbables : vous devez le signaler,
-Des scootéristes se réunissent dans un garage dans la journée ou la nuit : vous devez le signaler
-Un scootériste a du cambouis sur les mains : vous devez le signaler
-Si c'est un parent, un frère, une sœur, vous devez le signaler aussi, vous le sauverez peut être à temps.
Aidez le à s'en sortir...
MERCI
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