Les mouvements crépusculaires extrémistes tels que : Centre National des Indépendants Scootéristes (CNIS), Debout la la gÔnerie (DgÔ), Parti Radical Lambrettiste Non Roulant (PRLNR), Vespistes Libres (VL) ont été progressivement absorbés par les groupes forts qui ont su mettre en avant des idées attrayantes telles que :
- "un scooter qui roule nait dans la souffrance du bricolage",
- "la vie pour la course"
- "la discrimination positive pour les personnes aux mains sales et aux cambouis sous les ongles"
Ce que certains ont qualifié de "racolage" témoigne de la "drouilletisation" du débat au sein du scooter club lyonnais.
Mais l'analyse fine montre cependant qu'une partie de l'électorat modéré semble s'être détournée des groupes forts au profit de mouvements plus jeunes, aux idées neuves (création du BIC ou plus anciennement encore du Torpille).
Pour ma part, je perçois l'intégration des éléments centristes Inglourious dans le gouvernement du Scooter Club Lyonnais comme une volonté de rassurer les scootéristes de la gÔnerie.
"Remettre le scooter à l'extrême centre du débat", était la volonté des Inglourious avant leur entrée au bureau du SCL (meeting 14 décembre 2011 Remes aka la machette - Salle de réunion - résidence pour jeunes filles Lirondelle rue Rachais).


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